Ah qui dira les affres d’une campagne électorale? Qui dira les difficultés à faire une liste qui tienne debout, les avanies que vivent parfois les candidats? Qui dira les contrariétés quotidiennes, quand la presse affiche sans pudeur le parti de l’autre, quand elle s’assoit tranquillement sur les principes démocratiques d’impartialité et de traitement équitable des candidats en présence. Bref, vous l’avez compris, pour le coup, je parle de moi. C’est bien pour cela que j’ai déposé un recours devant le CSA, l’organisme de régulation de la communication audiovisuelle. (Voir ci-contre le récépissé de ma requête)
Et puis il y a aussi, dans une campagne, cette part d’incertitude, ces zones d’ombre qui entourent parfois certains candidats, certains colistiers dont on ne s’est pas assuré suffisamment de l’éligibilité. La préfecture en la matière est vigilante et elle a raison. la démocratie doit être exemplaire et ceux qui prétendent l’incarner aussi. A Moissac, le RN le premier en a fait les frais. Il a vu un de ses candidats invalidé, remplacé depuis comme le permet la loi. C’est à la veille de la clôture des inscriptions, le tour de la liste de Maïté Garrigues. L’un de ses colistiers a été condamné par la justice, quelque part en Bretagne, et donc déclaré inéligible. Mauvaise affaire en terme d’image, et mauvais coup si je puis m’exprimer ainsi, si près des échéances!
Mais la campagne continue, jusqu’au 22 mars. Après, il sera toujours temps d’écrire la petite histoire de ce moment de démocratie locale
et oui nous connaissons cela depuis des années à l’UPR ainsi est la vie politique rendre invisibles ceux qui proposent une autre vision
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